sábado, 16 de mayo de 2009

El marco de comportamiento racional es un instrumento para garantizar el control

Imagen proveniente de http://www.altruists.org/ideas/economics/altruistic/non-zero_sum/away_from_win-lose/
La primera ley del movimiento de Newton enunciaba que «Todo cuerpo persevera en su estado de reposo o movimiento uniforme y rectilíneo a no ser que sea obligado a cambiar su estado por fuerzas impresas sobre él». Y la tercera ley de Newton desvelaba el principio de acción y reacción por el cual «Con toda acción ocurre siempre una reacción igual y contraria: quiere decir que las acciones mutuas de dos cuerpos siempre son iguales y dirigidas en sentido opuesto».

Para cruzar de una situación de 'suma cero' a otra de 'suma no cero' es necesaria la intervención de un factor exógeno a modo de catalizador o reactivo para alterar la dinámica regresiva del perdedor produciendo una respuesta disruptiva. Pero cuando se dan las condiciones para generar un círculo virtuoso el sistema activa entonces su mecanismo inhibidor para bloquear cualquier intento de cambio. Si la circunstancia económica de un sujeto está siempre dominada por una 'suma cero', si el sujeto obtiene siempre 'cero', únicamente podrá cambiar si actúa con otras reglas. El participante bloqueado por este sistema soporta un círculo vicioso donde su dominancia y el empate son imposibles. Si el jugador intenta sumar unidades positivas (utilidades) se genera un procedimiento, ciclo, bucle o subprograma de retorno establecido por una superestructura de órdenes económicas y sociales que impiden la ejecución de esta acción. Esto impide el cambio social. La finalidad de esta regresión es mantener controlado el marco normativo y limitado el número de opciones racionales configurando un bucle infinito. Esta realimentación negativa —o degenerativa— propone una regulación homeostática del sistema encaminada a mantener el statu quo: el equilibrio social, económico y político. De ahí el temor a lo que se sale del marco. El ganador tiene que mantener un equilibrio asimétrico de dominancia mediante una estrategia egoísta.

Un participante sin ningún beneficio, un jugador que haga lo que haga siempre pierde, puede cometer una infracción (un atraco o un fraude), pero la consecuencia puede llevarlo a una situación aún peor (catábasis). Él puede proponer trabajar mucho más, pero esta solución simplista no cambia la desigualdad y correría el riesgo de convertirse en objeto de explotación. Cuando tampoco es posible abandonar el juego sin perder utilidades, se produce un doble vínculo que igualmente descarta cualquier solución favorable.

Por último, puede actuar de manera no racional porque su relación con el mercado necesita una revolución de reglas, un cambio radical. La zona de confort del ganador perjudica los intereses del eterno desfavorecido. Este último sujeto sólo actúa desde la 'suma cero' y pierde. El jugador que siempre se mueve desde una 'suma cero' debe saltar de un sistema de reglas a otro. En la frontera hay un espacio —o intersticio— no reglamentado. Este es el espacio de las acciones audaces que los economistas no suelen analizar.

http://www.youtube.com/watch?v=s9ttdxuOnAg
http://www.youtube.com/watch?v=R5IFQ5dW2Ck
http://www.youtube.com/watch?v=n4zoM8jpFBM

The Newton's first law of motion enunciated that "When viewed in an inertial reference frame, an object either remains at rest or continues to move at a constant velocity, unless acted upon by an external force." And the Newton's third law unveiled the action–reaction principle by which "When one body exerts a force on a second body, the second body simultaneously exerts a force equal in magnitude and opposite in direction on the first body."      

From a theoretical perspective, to cross from a disadvantage zero-sum towards a non-zero-sum situation we need to run a transforming action by an exogenous factor as reagent or catalyst to change the regressive dynamics of the loser producing a disruptive response. But when this virtuous circle arises, the system activates its inhibiting mechanism to block any attempt of change. If the economic circumstance of a subject is always dominated by a zero-sum, if this subject always obtains zero, he can only change if he acts with other rules. We can say that the player dominated by this system supports a different code. Although there is another alternative explanation: if the subject tries to add positive units (utilities), it is generated a return subprogram or procedure—cycle, loop—that prevents the execution of this action established by a superstructure of social and economic orders maintaining the vicious circle where his dominance and the tie are impossible. This impedes the social change. The purpose of this regression that describes an infinite loop (or endless loop) is to maintain the normative frame under control and to limit the number of rational options. This negative feedback suggests a homeostatic regulation aimed at maintaining the social, economic and political balance, the status quo of the system. The winner has to maintain an asymmetric balance of dominance through a selfish strategy.

The rational behavior limits our number of responses. Those options are suggested previously to control our actions. The rational argument is a defense mechanism that punishes the nonawaited response. Institutions, society and the economy fear uncontrolled events. A noncontrolled response, irrational, would cause panic throughout the system. Therefore the rationality demands to act from a very conservative tendency.

A participant without any benefit, a player who always loses can commit a violation of the rules (a robbery or fraud), but the result can lead to a worse state (katabasis). He can work hard until fall busted, but he does not change this inequality. When it is also not possible to leave the game without losing utilities, then there takes place a double bind that discards any favorable solution. Finally, he can act in a non-rational system, because his relationship with market rules requires a revolution, a radical change. One player is prisoner inside a zero-sum game where he always loses. He is a player who must lose because he is condemned by social and economic rules. The winner's comfort zone harms the interests of the loser. He knows that there is no way out of this game. The player who always acts from the zero-sum rules must jump from one system to another. And the border has an empty space or interstice, a non-regulated area. This is the area of the courageous actions that economists often do not analyze.

http://www.youtube.com/watch?v=mVn_GhGzpV4
https://www.youtube.com/watch?v=t6PAe1ul10s

La première loi du mouvement de Newton énonce que « Tout corps persévère dans l'état de repos ou de mouvement uniforme en ligne droite dans lequel il se trouve, à moins que quelque force n'agisse sur lui, et ne le contraigne à changer d'état. » Et la troisième loi de Newton a dévoilé le principe d'action-réaction par lequel « L'action est toujours égale à la réaction ; c'est-à-dire que les actions de deux corps l'un sur l'autre sont toujours égales et dans des directions contraires. »      

On assume que pour croiser d'une situation de somme zéro (je gagne/tu perds) à somme non nulle (jeu coopératif), il est nécessaire de changer le cadre normatif par un virement radical avec l'intervention d'un facteur exogène en guise de catalyseur ou d'un réactif pour perturber la dynamique régressive du perdant en produisant une réponse disruptive. Mais avant l'apparition de ce cercle vertueux le système active alors son mécanisme inhibiteur pour bloquer toute tentative de changement. Si la circonstance économique d'un sujet est toujours dominée par une somme zéro, si le sujet obtient toujours zéro, il pourra seulement changer de manière positive s'il agit avec d'autres règles. Nous pouvons dire que le participant dominé par ce système supporte un code différent: il doit seulement perdre, jamais gagner. Bien qu'il y ait une autre explication alternative: si le sujet essaie d'additionner des unités positives (utilités), on produit une procédure, un cycle, une boucle ou un sous-programme de retour établi par une superstructure d'ordres économiques et sociaux qui empêchent l'exécution de cette action en maintenant un cercle vicieux où sa dominance et l'égalité dans le jeu sont impossibles. Cela empêche le changement social. Le but de cette régression qui décrit une boucle infinie est de maintenir contrôlé le cadre normatif et limiter le nombre d'options rationnelles. Cette rétroaction négative propose une régulation homéostatique du système visant à maintenir le statu quo social, économique et politique. Le gagnant doit maintenir un équilibre asymétrique de dominance grâce à une stratégie égoïste.

Un participant sans aucun bénéfice, un joueur qui toujours perd, peut forcer la tendance dans sa faveur par une infraction (un attaque ou une fraude), mais il tombe dans le risque d'atteindre une conséquence pire encore (catabase). Il peut aussi travailler jusqu'à éclater, mais parfois cette solution ne change pas l'inégalité. Quand il n'est pas non plus possible d'abandonner le jeu sans perdre d'utilités, alors se produit une double contrainte en excluant toute solution favorable.

Finalement, il peut agir de manière non rationnelle, parce que son relation avec le marché a besoin d'une révolution normative, un changement radical. La zone de confort du gagnant nuit aux intérêts du perdant. Le sujet qu'il n'est jamais favorisé par le système subit une dégradation symétrique, il dépend d'une sentence de somme zéro, il perd toujours. Le joueur qui agit toujours depuis la somme zéro doit sauter d'un cadre de règles vers autre différent. À la frontière il y a un espace vide ou insterstice non réglementé. Celui-ci est l'espace des actions courageuses que les économistes n'analysent pas généralement.

Le comportement rationnel limite notre nombre de réponses. Ces options sont préalablement suggérées pour contrôler les actions. L'argument rationnel est un mécanisme de défense qui punit la réponse non attendue. Les institutions, la société et l'économie tremblent devant des événements incontrôlés. Une réponse non contrôlée, apparentement irrationnelle, causerait de la panique dans tout le système parce qu'elle menace la structure établie. Pour cette raison la rationalité oblige à agir depuis une tendance très conservatrice.

domingo, 10 de mayo de 2009

El cliente, lo primero

En el mundo empresarial no se debe llevar a cabo ninguna acción sin haber estudiado previamente el sector en el que vamos a invertir. Cuando sea posible, antes de levantar una factoría o desarrollar un servicio debemos contar ya con algunos socios y clientes para no empezar con pérdidas. Esto requiere de una tenaz planificación, estudio de mercado, captación de dichos socios o clientes, así como la búsqueda de los acreedores más asequibles. ¿Cómo se consigue esto? Mediante la confección continua de redes de relaciones, clusters, cadenas de socios, estaciones interdependientes. Si se promueve la transformación desde el Estado, éste debe favorecer los encuentros. Pero además todos los puntos de producción y distribución deben estar conectados entre sí formando una red compatible como la piezas de un puzzle.

sábado, 9 de mayo de 2009

¿Dónde le pongo la inyección?

Resultaría más factible atajar los problemas económicos surgidos en áreas localmente restringidas para evitar que, por efecto encadenado, arrastren a otros sectores industriales, mercados, particulares e instituciones. Podemos intervenir una crisis dentro de un pequeño núcleo de producción, como una fábrica, antes que en un área más amplia, como una región.

La actividad de una empresa está interrelacionada con otras. La quiebra en una de ellas puede suponer un déficit en las otras (p.ej: no llegan piezas exclusivas de recambio). Y, a su vez, en la comarca se extiende el desempleo, la ruina del comercio local por el debilitamiento del flujo de dinero y la dependencia de los particulares que se han quedado sin medios. Trataremos de invertir el proceso empezando desde abajo, generando economías externas —o un conjunto de factores interrelacionados— para superar una fase deseconómica.

jueves, 7 de mayo de 2009

La venta como meta de la producción

Imagen proveniente de http://marioly-medina-ccmf27.nireblog.com/

Un paso decisivo para toda nación es llevar a cabo una profunda transformación económica y social. La clave del desarrollo y el crecimiento continuo es la industrialización sin vuelta atrás. Esto es lo que marca las diferencias entre Estados. Para que el capital genere más capital y recursos, incrementando los beneficios, debemos contar con materias primas, medios y plantas de transformación, una red eficaz de distribución que ponga nuestros productos en el mercado, unas plantillas de recursos humanos dispuestas para la adaptación a las demandas de ese mercado y, naturalmente, los productos deben venderse a toda costa, lo que no sólo implica unos estándares de calidad y condiciones de competitividad frente a otros artículos, sino que también depende de una técnica de venta, promoción y captación permanente de compradores, a ser posible mayoristas. Este último apunte es decisivo: la búsqueda permanente de compradores. Nunca debemos cesar en ello. Si no encontramos consumidores, la industria no sirve de nada. Ese es el mayor peligro de toda sociedad mercantil. Se quiebra por falta de ventas y por no adaptarse a las demandas del mercado con suficiente antelación. Toda empresa depende de la eficacia de su departamento comercial.
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El buen inversor sabe que el capital no puede estancarse, debe moverse constantemente hacia donde obtenga mayores beneficios. Se rastrean nuevos mercados, se buscan núcleos de compradores y se intenta hacer fijo al consumidor estableciendo algún tipo de relación, suscripción, asociación o contrato duradero. Personalmente, creo que uno de los mayores errores que puede cometer un industrial es confiar en el consumo esporádico de sus productos o servicios. En otro tiempo, cuando había menos competencia, podía resultar, pero con la apertura a cientos de mercados diversos el consumidor se ve saturado por numerosas ofertas de artículos similares.

martes, 5 de mayo de 2009

Economicismo teológico: los principios vitales

Poseemos una innegable naturaleza mercantilista. El hombre negocia hasta cuando está rezando. Las relaciones sociales se basan en un intercambio de algo. Es un fenómeno natural y no debemos ocultarlo. La Iglesia debe contribuir al intercambio de recursos. Toda comunidad o asociación ajena a esta realidad está condenada a la marginación y a la absoluta dependencia de la voluntad o arbitrariedad de otros. Esto sí es negativo, esto sí conlleva el origen de otros males.

Es un error que la Iglesia se mantenga al margen. Debería contar con algún tipo de delegación o representación en las estructuras emergentes. Las relaciones sociales, políticas y económicas con nuestros vecinos árabes orientan un paulatino cambio de actitud. El ejemplo lo tenemos en Marruecos, país aliado e importante socio comercial. Pese a las superficiales diferencias, encontramos intereses comunes, una pretensión de ampliar mercado y favorecer la expansión financiera. De hecho, la banca española está muy vinculada a la marroquí, lo que garantiza la estabilidad en las relaciones. Aquí, incluso me atrevo a sugerir la participación de nuestra Iglesia como entidad propiciadora del desarrollo industrial norteafricano en colaboración con los representantes de la religión islámica. La Iglesia católica debería tomar la iniciativa en materia económica, desarrollo industrial y vinculación entre sociedades y culturas. Buscamos un soporte tangible, un necesario de vida: la economía.

La Iglesia puede servir de puente entre los distintos centros de producción y distribución; en la fase de localización de recursos, formación de equipos técnicos y ejecutivos —no es una novedad—, sin descartar otras tareas de cooperación social y religiosa (grupos mixtos cristiano-musulmanes) e integración sociolaboral, actividad que cierra hacia la misma inclusión en el sistema de mercado, garante de la libertad del individuo.

lunes, 4 de mayo de 2009

7 de junio, elecciones europeas. "Tú eliges"

Elegiremos a nivel global los grupos políticos que incorporarán un número proporcional de parlamentarios de los distintos países europeos en formaciones comunes. Legislación, distribución presupuestaria, control institucional y firma de acuerdos comerciales, son las principales funciones del Parlamento Europeo.

A pesar de que los conservadores ocupan más escaños en la Eurocámara, gracias al consenso se ha logrado un equilibrio en las propuestas que da cabida a las enmiendas e iniciativas socialdemócratas.

No importa tanto qué opción tenga mayoría, sino que las medidas acordadas por los grupos sean eficaces y que los fondos aportados no se desvíen del objeto a subvencionar.

Resultaría precipitado inferir un cambio de tendencia partiendo del resultado en las autonómicas. Galicia suele apostar por los populares. Las elecciones generales del pasado año fueron ganadas por un PSOE que sumó cinco escaños más que en 2004. La crisis no es exclusiva de España.

¿Primarias en el partido socialista? Únicamente si el resultado rompe el equilibrio y marca una bajada considerable. De no ser así, continuidad.

viernes, 1 de mayo de 2009

Formación Profesional, la élite laboral

El expresidente Felipe González dio en el centro de la diana al sostener que los jóvenes que concluyen sus estudios en las escuelas de negocios “quieren ser funcionarios de la mano de Chaves o Botín”, descartando aventuras emprendedoras. A falta de vocación, prefieren la administración pública y las entidades ya asentadas, naturalmente, integrados en el grupo A.

La auténtica élite emprendedora proviene de los centros de Formación Profesional. ¿Son ingenieros quienes establecen los talleres mecánicos? ¿Qué licenciado se atreve a iniciar actividad empresarial en una explotación ganadera? ¿Provienen de las escuelas universitarias los técnicos cualificados que trabajan en carpintería metálica? ¿Cuál es la titulación del profesional que regenta una peluquería? ¿Qué universidad o escuela técnica universitaria adiestra a los fontaneros? ¿Qué tipo de averías arregla un doctor en filología clásica o un filósofo moral?

Es un gran error suponer que es la universidad el núcleo irradiador de profesionales con mayor proyección económica. Si la mayoría de los universitarios dedica sus energías a intentar colocarse en la administración pública para no ser menos que sus ociosos instructores académicos, qué ánimo, impulso o iniciativa invierten en la cultura emprendedora, en la generación de capital, el incremento productivo, innovación empresarial.

Los viveros o incubadoras de empresas también existen en centros de Formación Profesional. Los técnicos no universitarios presentan, muchas veces, unos perfiles profesionales más atractivos para el mercado, más prácticos, y sus integrantes no son contaminados con falsas expectativas ni admiten la frecuente divagación fantasiosa e inmadurez de los universitarios. Los emprendedores provenientes de la Formación Profesional tienen más probabilidades de generar negocios auténticamente viables y con verdadera demanda.

Se están desarrollando en la actualidad programas para convertir los centros y talleres de FP en núcleos de investigación técnica. Tampoco omitiremos que muchos de estos alumnos tienen igual opción a convertirse en funcionarios de la administración pública.

La formación profesional, representando mucho más que una “enseñanza media”, instruye en tareas verdaderamente operativas basándose en secuencias prácticas. Sólo los trabajadores pertenecientes a este grupo podrán detectar los fallos inmediatos en la cadena de producción, distribución y venta, no los dirigentes aislados de este medio. La mal llamada “enseñanza superior” concibe una ficticia élite laboral que se supone lo sabe todo y está preparada para tomar las más elevadas decisiones, cuando en demasiadas ocasiones los ejecutivos de primer nivel, reiterados universitarios, provocan la caída de toda la empresa por no saber interpretar algunos datos presentes —o ausentes— en sus informes y proyectos porque no tienen capacidad de análisis y diagnóstico.

Empresarios y encargados de recursos humanos deben comprender que un trabajador con un ciclo formativo de grado superior de FP puede ser igualmente elegible para el más elevado puesto en una empresa o institución. El nivel de conocimiento técnico entre un graduado universitario y un promocionado de segundo ciclo en un instituto de formación profesional es prácticamente el mismo. Con las únicas excepciones de la escala facultativa de medicina y el derecho, en todas las actividades restantes no se aprecia mayor nivel de competencia laboral entre un licenciado y un técnico superior no universitario.

Un técnico especialista (FPII) de la familia de comercio y marketing o administración y gestión, está capacitado para desempeñar las mismas funciones que un licenciado en administración y dirección de empresas, publicidad y relaciones públicas, económicas, graduado en relaciones laborales y recursos humanos o carreras similares. Un técnico superior en edificación y obra civil, poco se diferencia del arquitecto o ingeniero técnico, siendo más evidente la equivalencia en las ramas de electricidad y electrónica, fabricación mecánica, instalación y mantenimiento, o transporte y mantenimiento de vehículos. Un licenciado en trabajo social no tiene mayor capacidad que quien ha cursado el ciclo formativo de grado superior en la familia de servicios socioculturales y a la comunidad. La licenciatura en ciencias de la actividad física y del deporte casi podría equipararse a la FP en actividades físicas y deportivas. Un técnico superior de la rama de hostelería y turismo posee igual o superior preparación que un diplomado universitario en la carrera de turismo. Y podíamos continuar la comparación en todos y cada uno de los títulos expedidos en el ámbito de la enseñanza profesional: energía y agua, imagen personal, industrias alimentarias, especialidad agraria, informática y comunicaciones, artes, madera, mueble y corcho, industrias extractivas, química, seguridad y medio ambiente, textil, confección y piel, vidrio y cerámica, etc.

Existe una gran confusión en los atributos asumidos para la formación profesional. Conviene dejar bien claro el nivel de competencia laboral alcanzado con cada una de las dos categorías: ciclos formativos de grado medio, antes llamada formación profesional de primer grado, y ciclos formativos de grado superior, la antigua formación profesional de segundo grado.

El primer título, de técnico intermedio, cualifica al trabajador para integrarse en la oficialía industrial, es decir, como oficial u operario de 1ª ó 2ª, clasificándose según la pericia demostrada en la ejecución de su labor y antigüedad. Significa la acreditación correspondiente al módulo básico de conocimientos teórico-prácticos para determinada especialidad. En algunos empleos se establece la categoría de “auxiliar”, si bien podemos equiparar al técnico auxiliar con el oficial 2ª ó 3ª en tanto que ambos disponen ya de unas destrezas laborales homologadas, pero sin alcanzar el grado máximo de autonomía en la empresa, reservado para el oficial de primera. Los titulados de grado medio o FPI pueden ascender hasta el empleo de jefe de equipo o subjefe de negociado.

Al técnico superior, antiguo técnico especialista (FPII), le es propia la “maestría industrial” en su oficio, o sea, el más elevado conocimiento de una actividad profesional y puede, por tanto, instruir y coordinar a otros en su ejecución. Aunque con frecuencia se determina su integración laboral en la categoría de oficial 1ª, también es posible adjudicarle competencias directivas como jefe de taller, maestro de obra, encargado general, jefe de negociado, gerente, etc.