La primera ley del movimiento de Newton enunciaba que «Todo cuerpo persevera en su estado de reposo o movimiento uniforme y rectilíneo a no ser que sea obligado a cambiar su estado por fuerzas impresas sobre él». Y la tercera ley de Newton desvelaba el principio de acción y reacción por el cual «Con toda acción ocurre siempre una reacción igual y contraria: quiere decir que las acciones mutuas de dos cuerpos siempre son iguales y dirigidas en sentido opuesto».
Para cruzar de una situación de 'suma cero' a otra de 'suma no cero' es necesaria la intervención de un factor exógeno a modo de catalizador o reactivo para alterar la dinámica regresiva del perdedor produciendo una respuesta disruptiva. Pero cuando se dan las condiciones para generar un círculo virtuoso el sistema activa entonces su mecanismo inhibidor para bloquear cualquier intento de cambio. Si la circunstancia económica de un sujeto está siempre dominada por una 'suma cero', si el sujeto obtiene siempre 'cero', únicamente podrá cambiar si actúa con otras reglas. El participante bloqueado por este sistema soporta un círculo vicioso donde su dominancia y el empate son imposibles. Si el jugador intenta sumar unidades positivas (utilidades) se genera un procedimiento, ciclo, bucle o subprograma de retorno establecido por una superestructura de órdenes económicas y sociales que impiden la ejecución de esta acción. Esto impide el cambio social. La finalidad de esta regresión es mantener controlado el marco normativo y limitado el número de opciones racionales configurando un bucle infinito. Esta realimentación negativa —o degenerativa— propone una regulación homeostática del sistema encaminada a mantener el statu quo: el equilibrio social, económico y político. De ahí el temor a lo que se sale del marco. El ganador tiene que mantener un equilibrio asimétrico de dominancia mediante una estrategia egoísta.
Un participante sin ningún beneficio, un jugador que haga lo que haga siempre pierde, puede cometer una infracción (un atraco o un fraude), pero la consecuencia puede llevarlo a una situación aún peor (catábasis). Él puede proponer trabajar mucho más, pero esta solución simplista no cambia la desigualdad y correría el riesgo de convertirse en objeto de explotación. Cuando tampoco es posible abandonar el juego sin perder utilidades, se produce un doble vínculo que igualmente descarta cualquier solución favorable.
Por último, puede actuar de manera no racional porque su relación con el mercado necesita una revolución de reglas, un cambio radical. La zona de confort del ganador perjudica los intereses del eterno desfavorecido. Este último sujeto sólo actúa desde la 'suma cero' y pierde. El jugador que siempre se mueve desde una 'suma cero' debe saltar de un sistema de reglas a otro. En la frontera hay un espacio —o intersticio— no reglamentado. Este es el espacio de las acciones audaces que los economistas no suelen analizar.
http://www.youtube.com/watch?v=s9ttdxuOnAg
http://www.youtube.com/watch?v=R5IFQ5dW2Ck
http://www.youtube.com/watch?v=n4zoM8jpFBM
The Newton's first law of motion enunciated that "When viewed in an inertial reference frame, an object either remains at rest or continues to move at a constant velocity, unless acted upon by an external force." And the Newton's third law unveiled the action–reaction principle by which "When one body exerts a force on a second body, the second body simultaneously exerts a force equal in magnitude and opposite in direction on the first body."
From a theoretical perspective, to cross from a disadvantage zero-sum towards a non-zero-sum situation we need to run a transforming action by an exogenous factor as reagent or catalyst to change the regressive dynamics of the loser producing a disruptive response. But when this virtuous circle arises, the system activates its inhibiting mechanism to block any attempt of change. If the economic circumstance of a subject is always dominated by a zero-sum, if this subject always obtains zero, he can only change if he acts with other rules. We can say that the player dominated by this system supports a different code. Although there is another alternative explanation: if the subject tries to add positive units (utilities), it is generated a return subprogram or procedure—cycle, loop—that prevents the execution of this action established by a superstructure of social and economic orders maintaining the vicious circle where his dominance and the tie are impossible. This impedes the social change. The purpose of this regression that describes an infinite loop (or endless loop) is to maintain the normative frame under control and to limit the number of rational options. This negative feedback suggests a homeostatic regulation aimed at maintaining the social, economic and political balance, the status quo of the system. The winner has to maintain an asymmetric balance of dominance through a selfish strategy.
The rational behavior limits our number of responses. Those options are suggested previously to control our actions. The rational argument is a defense mechanism that punishes the nonawaited response. Institutions, society and the economy fear uncontrolled events. A noncontrolled response, irrational, would cause panic throughout the system. Therefore the rationality demands to act from a very conservative tendency.
A participant without any benefit, a player who always loses can commit a violation of the rules (a robbery or fraud), but the result can lead to a worse state (katabasis). He can work hard until fall busted, but he does not change this inequality. When it is also not possible to leave the game without losing utilities, then there takes place a double bind that discards any favorable solution. Finally, he can act in a non-rational system, because his relationship with market rules requires a revolution, a radical change. One player is prisoner inside a zero-sum game where he always loses. He is a player who must lose because he is condemned by social and economic rules. The winner's comfort zone harms the interests of the loser. He knows that there is no way out of this game. The player who always acts from the zero-sum rules must jump from one system to another. And the border has an empty space or interstice, a non-regulated area. This is the area of the courageous actions that economists often do not analyze.
http://www.youtube.com/watch?v=mVn_GhGzpV4
https://www.youtube.com/watch?v=t6PAe1ul10s
La première loi du mouvement de Newton énonce que « Tout corps persévère dans l'état de repos ou de mouvement uniforme en ligne droite dans lequel il se trouve, à moins que quelque force n'agisse sur lui, et ne le contraigne à changer d'état. » Et la troisième loi de Newton a dévoilé le principe d'action-réaction par lequel « L'action est toujours égale à la réaction ; c'est-à-dire que les actions de deux corps l'un sur l'autre sont toujours égales et dans des directions contraires. »
On assume que pour croiser d'une situation de somme zéro (je gagne/tu perds) à somme non nulle (jeu coopératif), il est nécessaire de changer le cadre normatif par un virement radical avec l'intervention d'un facteur exogène en guise de catalyseur ou d'un réactif pour perturber la dynamique régressive du perdant en produisant une réponse disruptive. Mais avant l'apparition de ce cercle vertueux le système active alors son mécanisme inhibiteur pour bloquer toute tentative de changement. Si la circonstance économique d'un sujet est toujours dominée par une somme zéro, si le sujet obtient toujours zéro, il pourra seulement changer de manière positive s'il agit avec d'autres règles. Nous pouvons dire que le participant dominé par ce système supporte un code différent: il doit seulement perdre, jamais gagner. Bien qu'il y ait une autre explication alternative: si le sujet essaie d'additionner des unités positives (utilités), on produit une procédure, un cycle, une boucle ou un sous-programme de retour établi par une superstructure d'ordres économiques et sociaux qui empêchent l'exécution de cette action en maintenant un cercle vicieux où sa dominance et l'égalité dans le jeu sont impossibles. Cela empêche le changement social. Le but de cette régression qui décrit une boucle infinie est de maintenir contrôlé le cadre normatif et limiter le nombre d'options rationnelles. Cette rétroaction négative propose une régulation homéostatique du système visant à maintenir le statu quo social, économique et politique. Le gagnant doit maintenir un équilibre asymétrique de dominance grâce à une stratégie égoïste.
Un participant sans aucun bénéfice, un joueur qui toujours perd, peut forcer la tendance dans sa faveur par une infraction (un attaque ou une fraude), mais il tombe dans le risque d'atteindre une conséquence pire encore (catabase). Il peut aussi travailler jusqu'à éclater, mais parfois cette solution ne change pas l'inégalité. Quand il n'est pas non plus possible d'abandonner le jeu sans perdre d'utilités, alors se produit une double contrainte en excluant toute solution favorable.
Finalement, il peut agir de manière non rationnelle, parce que son relation avec le marché a besoin d'une révolution normative, un changement radical. La zone de confort du gagnant nuit aux intérêts du perdant. Le sujet qu'il n'est jamais favorisé par le système subit une dégradation symétrique, il dépend d'une sentence de somme zéro, il perd toujours. Le joueur qui agit toujours depuis la somme zéro doit sauter d'un cadre de règles vers autre différent. À la frontière il y a un espace vide ou insterstice non réglementé. Celui-ci est l'espace des actions courageuses que les économistes n'analysent pas généralement.
Le comportement rationnel limite notre nombre de réponses. Ces options sont préalablement suggérées pour contrôler les actions. L'argument rationnel est un mécanisme de défense qui punit la réponse non attendue. Les institutions, la société et l'économie tremblent devant des événements incontrôlés. Une réponse non contrôlée, apparentement irrationnelle, causerait de la panique dans tout le système parce qu'elle menace la structure établie. Pour cette raison la rationalité oblige à agir depuis une tendance très conservatrice.
Para cruzar de una situación de 'suma cero' a otra de 'suma no cero' es necesaria la intervención de un factor exógeno a modo de catalizador o reactivo para alterar la dinámica regresiva del perdedor produciendo una respuesta disruptiva. Pero cuando se dan las condiciones para generar un círculo virtuoso el sistema activa entonces su mecanismo inhibidor para bloquear cualquier intento de cambio. Si la circunstancia económica de un sujeto está siempre dominada por una 'suma cero', si el sujeto obtiene siempre 'cero', únicamente podrá cambiar si actúa con otras reglas. El participante bloqueado por este sistema soporta un círculo vicioso donde su dominancia y el empate son imposibles. Si el jugador intenta sumar unidades positivas (utilidades) se genera un procedimiento, ciclo, bucle o subprograma de retorno establecido por una superestructura de órdenes económicas y sociales que impiden la ejecución de esta acción. Esto impide el cambio social. La finalidad de esta regresión es mantener controlado el marco normativo y limitado el número de opciones racionales configurando un bucle infinito. Esta realimentación negativa —o degenerativa— propone una regulación homeostática del sistema encaminada a mantener el statu quo: el equilibrio social, económico y político. De ahí el temor a lo que se sale del marco. El ganador tiene que mantener un equilibrio asimétrico de dominancia mediante una estrategia egoísta.
Un participante sin ningún beneficio, un jugador que haga lo que haga siempre pierde, puede cometer una infracción (un atraco o un fraude), pero la consecuencia puede llevarlo a una situación aún peor (catábasis). Él puede proponer trabajar mucho más, pero esta solución simplista no cambia la desigualdad y correría el riesgo de convertirse en objeto de explotación. Cuando tampoco es posible abandonar el juego sin perder utilidades, se produce un doble vínculo que igualmente descarta cualquier solución favorable.
Por último, puede actuar de manera no racional porque su relación con el mercado necesita una revolución de reglas, un cambio radical. La zona de confort del ganador perjudica los intereses del eterno desfavorecido. Este último sujeto sólo actúa desde la 'suma cero' y pierde. El jugador que siempre se mueve desde una 'suma cero' debe saltar de un sistema de reglas a otro. En la frontera hay un espacio —o intersticio— no reglamentado. Este es el espacio de las acciones audaces que los economistas no suelen analizar.
http://www.youtube.com/watch?v=s9ttdxuOnAg
http://www.youtube.com/watch?v=R5IFQ5dW2Ck
http://www.youtube.com/watch?v=n4zoM8jpFBM
The Newton's first law of motion enunciated that "When viewed in an inertial reference frame, an object either remains at rest or continues to move at a constant velocity, unless acted upon by an external force." And the Newton's third law unveiled the action–reaction principle by which "When one body exerts a force on a second body, the second body simultaneously exerts a force equal in magnitude and opposite in direction on the first body."
From a theoretical perspective, to cross from a disadvantage zero-sum towards a non-zero-sum situation we need to run a transforming action by an exogenous factor as reagent or catalyst to change the regressive dynamics of the loser producing a disruptive response. But when this virtuous circle arises, the system activates its inhibiting mechanism to block any attempt of change. If the economic circumstance of a subject is always dominated by a zero-sum, if this subject always obtains zero, he can only change if he acts with other rules. We can say that the player dominated by this system supports a different code. Although there is another alternative explanation: if the subject tries to add positive units (utilities), it is generated a return subprogram or procedure—cycle, loop—that prevents the execution of this action established by a superstructure of social and economic orders maintaining the vicious circle where his dominance and the tie are impossible. This impedes the social change. The purpose of this regression that describes an infinite loop (or endless loop) is to maintain the normative frame under control and to limit the number of rational options. This negative feedback suggests a homeostatic regulation aimed at maintaining the social, economic and political balance, the status quo of the system. The winner has to maintain an asymmetric balance of dominance through a selfish strategy.
The rational behavior limits our number of responses. Those options are suggested previously to control our actions. The rational argument is a defense mechanism that punishes the nonawaited response. Institutions, society and the economy fear uncontrolled events. A noncontrolled response, irrational, would cause panic throughout the system. Therefore the rationality demands to act from a very conservative tendency.
A participant without any benefit, a player who always loses can commit a violation of the rules (a robbery or fraud), but the result can lead to a worse state (katabasis). He can work hard until fall busted, but he does not change this inequality. When it is also not possible to leave the game without losing utilities, then there takes place a double bind that discards any favorable solution. Finally, he can act in a non-rational system, because his relationship with market rules requires a revolution, a radical change. One player is prisoner inside a zero-sum game where he always loses. He is a player who must lose because he is condemned by social and economic rules. The winner's comfort zone harms the interests of the loser. He knows that there is no way out of this game. The player who always acts from the zero-sum rules must jump from one system to another. And the border has an empty space or interstice, a non-regulated area. This is the area of the courageous actions that economists often do not analyze.
http://www.youtube.com/watch?v=mVn_GhGzpV4
https://www.youtube.com/watch?v=t6PAe1ul10s
La première loi du mouvement de Newton énonce que « Tout corps persévère dans l'état de repos ou de mouvement uniforme en ligne droite dans lequel il se trouve, à moins que quelque force n'agisse sur lui, et ne le contraigne à changer d'état. » Et la troisième loi de Newton a dévoilé le principe d'action-réaction par lequel « L'action est toujours égale à la réaction ; c'est-à-dire que les actions de deux corps l'un sur l'autre sont toujours égales et dans des directions contraires. »
On assume que pour croiser d'une situation de somme zéro (je gagne/tu perds) à somme non nulle (jeu coopératif), il est nécessaire de changer le cadre normatif par un virement radical avec l'intervention d'un facteur exogène en guise de catalyseur ou d'un réactif pour perturber la dynamique régressive du perdant en produisant une réponse disruptive. Mais avant l'apparition de ce cercle vertueux le système active alors son mécanisme inhibiteur pour bloquer toute tentative de changement. Si la circonstance économique d'un sujet est toujours dominée par une somme zéro, si le sujet obtient toujours zéro, il pourra seulement changer de manière positive s'il agit avec d'autres règles. Nous pouvons dire que le participant dominé par ce système supporte un code différent: il doit seulement perdre, jamais gagner. Bien qu'il y ait une autre explication alternative: si le sujet essaie d'additionner des unités positives (utilités), on produit une procédure, un cycle, une boucle ou un sous-programme de retour établi par une superstructure d'ordres économiques et sociaux qui empêchent l'exécution de cette action en maintenant un cercle vicieux où sa dominance et l'égalité dans le jeu sont impossibles. Cela empêche le changement social. Le but de cette régression qui décrit une boucle infinie est de maintenir contrôlé le cadre normatif et limiter le nombre d'options rationnelles. Cette rétroaction négative propose une régulation homéostatique du système visant à maintenir le statu quo social, économique et politique. Le gagnant doit maintenir un équilibre asymétrique de dominance grâce à une stratégie égoïste.
Un participant sans aucun bénéfice, un joueur qui toujours perd, peut forcer la tendance dans sa faveur par une infraction (un attaque ou une fraude), mais il tombe dans le risque d'atteindre une conséquence pire encore (catabase). Il peut aussi travailler jusqu'à éclater, mais parfois cette solution ne change pas l'inégalité. Quand il n'est pas non plus possible d'abandonner le jeu sans perdre d'utilités, alors se produit une double contrainte en excluant toute solution favorable.
Finalement, il peut agir de manière non rationnelle, parce que son relation avec le marché a besoin d'une révolution normative, un changement radical. La zone de confort du gagnant nuit aux intérêts du perdant. Le sujet qu'il n'est jamais favorisé par le système subit une dégradation symétrique, il dépend d'une sentence de somme zéro, il perd toujours. Le joueur qui agit toujours depuis la somme zéro doit sauter d'un cadre de règles vers autre différent. À la frontière il y a un espace vide ou insterstice non réglementé. Celui-ci est l'espace des actions courageuses que les économistes n'analysent pas généralement.
Le comportement rationnel limite notre nombre de réponses. Ces options sont préalablement suggérées pour contrôler les actions. L'argument rationnel est un mécanisme de défense qui punit la réponse non attendue. Les institutions, la société et l'économie tremblent devant des événements incontrôlés. Une réponse non contrôlée, apparentement irrationnelle, causerait de la panique dans tout le système parce qu'elle menace la structure établie. Pour cette raison la rationalité oblige à agir depuis une tendance très conservatrice.
1 comentario:
Absolutamente genial esta reflexión. Coincido contigo que el apoyo mutuo siempre es mejor que la competencia mutua.
Publicar un comentario